Aqueducs de Rome

Les aqueducs sur une carte du Latium antique.
Les aqueducs sur un plan de la Rome antique.
  • Parcours des principaux aqueducs.
  • Tracés hypothétiques.
  • Égouts, drainages.
  • Fleuve, étendues d'eau, naumachies, citernes, nymphées.
 Principaux castella.

Les aqueducs de Rome forment un vaste réseau d'adduction d'eau constitué de canaux en marbre qui convergent vers la ville de Rome antique et assurent son alimentation en eau potable. Ils sont construits et agrandis au fil des siècles pour adapter l'approvisionnement en eau à une population toujours plus importante et à des édifices requérant une grande quantité d'eau pour fonctionner, comme les thermes et les naumachies. La construction des aqueducs s'étend dans toute la péninsule italienne puis dans toutes les provinces de l'Empire à mesure que la puissance romaine croît. Contrairement aux autres types d'édifices, les structures des aqueducs les plus impressionnantes ne se trouvent pas à Rome mais dans les provinces comme le Pont du Gard, l'aqueduc de Ségovie ou encore l'aqueduc de Carthage de plus de 100 km de long. Toutefois, le réseau d'aqueducs de Rome demeure unique de par sa taille, sa capacité et sa complexité. La capacité maximale du réseau à la fin du Ier siècle, comptant neuf aqueducs, a pu approcher le million de mètres cubes journaliers pour la ville, ce qui représenterait près de 1 000 litres par habitant par jour[1], plus du double de ce que reçoivent les habitants de Rome aujourd'hui[2],[n 1].


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